Le succès de la peinture précédente nous a permis d’obtenir ce mur (d’école) sans trop de contraintes dans le quartier d’Hadoudja…

J’ai parfois l’impression qu’à chaque peinture, il y a un peu plus d’enfants qui courent autour de nous ! Le portrait central de la fresque n’est autre que le premier enfant qui est venu nous voir ce jour-là. Les lettrages, « Calcamart » et « Socrome » sont en lettres arabes.

La future génération de graffeurs comoriens se confirme : à chaque peinture, au moins un jeune vient me voir pour me montrer ses sketchs