Petit chrome dans une usine abandonnée de la banlieue parisienne avec Pastek a.K.a Simer
Les espaces abandonnés et encore vierges sont des supports privilégiés pour les graffeurs, et celui-ci est à ce jour connu par un cercle très fermé de writers. Faire un chrome est un exercice qui me correspond bien : je ne perds pas 10 ans à faire mes remplissages et me concentre sur les lettres en elles-mêmes. C’est encore plus agréable dans un lieu comme celui-ci vu que la surface à peindre est immense. Les gestes peuvent être complètement lâchés, l’espace est illimité.
J’en ai un peu marre de peindre les mêmes lettres tout le temps, alors j’ai improvisé un « Stek »…
Libre et spontané
je ne perds pas 10 ans à faire mes remplissages et me concentre sur les lettres en elles-mêmes.